Bernard Ripert est transféré en ce moment de l’hôpital psychiatrique de Saint-Egrève à celui de Bassens en Savoie. Il a réussi à faire savoir que s’il avait été hospitalisé d’office, c’est parce que le parquet n’avait pas d’éléments suffisants pour le placer en détention. Alors le procureur a ordonné une expertise psychiatrique : on connaît ce genre d’expertises aussi bidon que nocives…
Bernard Ripert est parfaitement conscient, toujours aussi combattif. Il entame dès aujourd’hui une grève de la faim.
Ses avocats demandent sa libération immédiate.
Pour maintenir la pression, on peut téléphoner au standard du CHS de Bassens au 04 79 60 30 30.
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