« Ici nous vivons sous la contrainte permanente, torturées quotidiennement, oui, torturées, parce que cela n’a pas d’autre nom. » Marina, Fleury-Mérogis, mai 2016

[caption id="attachment_2138" align="alignnone" width="930"] Fleury-Mérogis, en bas à gauche la maison d'arrêt des femmes[/caption] Il y a un an, au…

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